Chers amis,
Selon une enquête mondiale1 et malgré les messages sans cesse martelés dans les médias, un Français sur trois ne croit pas que les vaccins soient sûrs.
Un sondage Ipsos2 enfonce le clou : la France est le pays le moins enclin à se faire vacciner contre la Covid.
Pourquoi une telle défiance ?
En matière de désastres sanitaires la France a un lourd passif, et le dernier en date fait partie des plus édifiants.
Pourtant, je parie que vous n’en avez pas entendu parler. L’information aurait-elle été (volontairement ?) noyée dans la politique du « tout Covid » ?
Laissez-moi donc faire la lumière sur le scandale du Mediator, acte 3.
Sécurité sanitaire, aucun progrès en 50 ans
En France, la sécurité sanitaire est aujourd’hui coordonnée par les agences françaises de sécurité sanitaire (AFSS) avec en tête l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). C’est elle qui permet, au nom de l’État, l’accès aux produits de santé en France et qui assure leur sécurité.
Mais la sécurité des médicaments n’a pas toujours été une préoccupation majeure de notre pays.
En réalité, il aura fallu un scandale, en 1954, pour que les consciences s’éveillent. A l’époque, une centaine de personnes meurent après avoir consommé du Stalinon, un médicament à base d’étain prescrit contre la furonculose.
La justice condamne l’entreprise qui le fabriquait et établit que le caractère dangereux du produit était bien connu avant sa commercialisation. Autrement dit, le visa avait été délivré alors que le traitement n’était pas sûr3.
Suite à cette affaire il est mis en évidence qu’un simple visa ministériel ne suffit pas à garantir la sécurité d’un médicament. Les autorités exigent des fabricants plus de garanties. C’est la naissance des fameux « essais cliniques de phase IV » pour évaluer les effets secondaires des produits mis sur le marché.
À partir de 1965 le fabricant se doit de garantir :
- la qualité pharmaceutique du produit (composition, stabilité, reproductibilité à grande échelle…),
- sa sécurité (effets indésirables, précautions d’emploi…),
- et son efficacité (données des essais cliniques du produit).
Ce n’est qu’après une évaluation de ces 3 critères qu’est délivrée une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM).
Est-on pour autant plus protégés que dans les années 50 ?
Je ne crois pas.
De l’affaire du Stalinon à celle du Mediator en 2009 de nombreux scandales sanitaires sont là pour en témoigner, en voici une liste non exhaustive pour rappel :
- 1983, le scandale du Distilbène, un traitement ayant provoqué des malformations génitales chez les enfants4 ;
- 1991, le scandale de l’hormone de croissance ayant causé la maladie de Creutzfeldt-Jakob et la mort de 111 personnes5 ;
- 2006, le scandale du Chlordécone, un insecticide favorisant le cancer de la prostate6 ;
- 1991, le scandale du sang contaminé7 ;
- 2006, le scandale de l’Isoméride, un coupe-faim engendrant de graves problèmes de santé8 ;
- 2016, le scandale de la Dépakine, un traitement ayant provoqué de graves handicaps chez les enfants9 ;
- 2011, le scandale du Mediator, un médicament ayant causé des centaines de morts10 ;
La raison en est simple : les intérêts financiers et la puissance des laboratoires ont relégué à l’arrière-plan les enjeux de santé publique.
Médiator : c’est vous qui allez payer l’amende !
Le 29 mars 2021, le tribunal de Paris a rendu son jugement dans le fameux procès du Mediator.
Après dix ans de procédure, les laboratoires Servier ont été reconnus coupables de « tromperie aggravée » et « d’homicides et blessures involontaires11 ».
La condamnation ? une amende de 2,7 millions d’euros et 180 millions d’euros à verser aux victimes…
Peut-on sérieusement penser que cette « sanction » fasse frémir un groupe qui présente un chiffre d’affaires de 4 milliards d’euros et en moyenne 500 millions d’euros de bénéfices12 ?
Et tenez-vous bien, Jean-Philippe Seta, l’ex-numéro deux du groupe pharmaceutique a pour sa part été condamné à quatre ans d’emprisonnement avec sursis13 tandis que les accusés secondaires, poursuivis pour des faits de corruption, s’en sont tirés avec des relaxes.
Au regard du préjudice pour la sécurité sociale chiffré à 1,2 milliard d’euros et du nombre de morts qui auraient été causées par le Mediator (entre 500 et 2000 selon les estimations, fortement contestées par Servier), il y a de quoi être désabusé14…
Quid de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM) ?
L’ex AFSSAPS, renommée ANSM depuis 2012, pour tenter de fuir le scandale et faire oublier sa responsabilité a, elle, été jugée coupable d’avoir tardé à suspendre la commercialisation du produit.
Le tribunal correctionnel a estimé que l’Agence n’avait pas joué son rôle et lui a infligé 225 000 euros d’amende pour « homicides et blessures involontaires ».
Ouvrez votre porte-monnaie, chers amis, car c’est VOUS qui allez payer cette amende !
L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament est une agence d’Etat et cette somme sera prélevée sur son budget de fonctionnement et donc… sur nos impôts.
Et n’oubliez pas le milliard d’euros de dépenses engagées par la sécurité sociale pour rembourser ce médicament et ses méfaits (entre 3 100 et 4 200 hospitalisations pour insuffisance valvulaire et entre 1 700 et 2 350 chirurgies de remplacement valvulaire)15.
Avec de telles condamnations doit-on s’attendre à des jours meilleurs en matière de sécurité sanitaire ?
Je dirais plutôt qu’on a versé une goutte d’eau propre dans un océan d’eau sale.
La santé selon Big Pharma
Le Mediator était à l’origine prescrit dans le cadre d’un traitement contre le diabète avec obésité avant d’être abusivement préconisé pour favoriser la perte de poids. La promesse d’un médicament « anti-gras », « anti-triglycérides » a vite fait sa réputation.
Le benfluorex qui est la substance active du Mediator est proche des amphétamines.
Les amphétamines sont une famille de produits de synthèse hautement stimulants pour le psychisme et l’organisme. Elles ont des propriétés bronchodilatatrices, stimulantes et anorexigènes (coupe-faim).
Elles ont été classées en France comme substances stupéfiantes en 1967.
On connaît leurs effets secondaires risqués.
Il est avéré que le benfluorex peut provoquer de sévères atteintes aux valves cardiaques et une hypertension artérielle pulmonaire mortelle16.
Le 2 juin 2010, alors que les graves problèmes encourus par les personnes sous Mediator sont connus, le groupe Servier publie dans le Quotidien du médecin et le Quotidien du pharmacien un communiqué déclarant :
« Face aux nombreuses inexactitudes parues dans la presse grand public, à ce jour, aucun lien de causalité direct n’a été démontré entre la prise du médicament et les valvulopathies »17.
Pourtant, lors du procès, le tribunal a considéré que les sociétés du groupe et Jean-Philippe Seta sont « les auteurs d’une fraude d’une ampleur considérable et inédite, dont ont été victimes des milliers de patients », alors qu’ils « disposaient, à partir de 1995, de suffisamment d’éléments pour prendre conscience des risques mortels qu’ils faisaient courir » aux consommateurs du Mediator18.
A ce jour, et malgré le jugement et le nombre de plaignants les laboratoires Servier ne reconnaissent que 3 morts liés à la prise de leur médicament19…
Conflits d’intérêt à tous les étages ?
Le Mediator est retiré du marché français le 30 novembre 2009 par l’AFSSAPS.
Le problème est que cette interdiction aurait pu être décidée bien avant.
L’explication est peut-être à chercher dans le fait que le groupe Servier est un acteur influent de la pharmacovigilance française20.
Son directeur gériatrie est aussi le trésorier de la Société française de pharmacovigilance et de thérapeutique.
Sa directrice des affaires publiques est à la tête de la commission économique du Leem, le syndicat professionnel de la pharmacie.
Son directeur des études Servier Monde est depuis 2008 président du conseil d’administration de l’Association des cadres de l’industrie pharmaceutique (ACIP).
Le professeur Jean-Michel Alexandre qui fut considéré pendant longtemps comme la référence scientifique et pharmacologique est un fort en gueule. Étrangement, concernant le Mediator, peu d’interventions de sa part. A peine à la retraite, il devient consultant pour Servier via une société écran. Un petit bonus d’après carrière évalué à plus d’un million d’euros21 selon le journal Libération.
Si l’instruction a révélé des liens étroits entre la firme et le monde politique, Marie-Thérèse Hermange, ex-sénatrice UMP, est la seule élue à être jugée pour avoir modifié un rapport sur le Mediator afin de minimiser la responsabilité des laboratoires Servier22.
Aujourd’hui encore, le groupe Servier continue de sponsoriser une série de congrès, de sociétés savantes « en toute indépendance ».
Mediator, Dépakine, et ensuite ?
Malheureusement, le scandale du Mediator n’est pas le dernier.
L’affaire de la Dépakine ne fait que commencer.
Pour rappel, ce médicament, fabriqué par les laboratoires Sanofi, est prescrit en cas d’épilepsie ou de troubles bipolaires. Mais utilisé pendant la grossesse, il expose à un risque de malformations congénitales et de troubles du développement chez l’enfant.
A l’été 2020 : le laboratoire Sanofi est mis en examen pour « tromperie aggravée », « blessures involontaires » et « homicides involontaires »23.
Et le 9 novembre 2020 : l’Agence du médicament est à son tour mise en examen pour « homicides involontaires »24.
Tout cela a un petit goût de déjà vu, n’est-ce pas ?
Le procès de la Dépakine sera bientôt la prochaine affaire à défrayer la chronique, j’en suis sûr.
Il est urgent qu’un grand chantier soit mis en œuvre pour corriger durablement les failles de la pharmacovigilance, le manque de transparence, les conflits d’intérêt, les insuffisances de veille et de réactivité.
D’ici là, soyez vigilants et restez le plus possible maître de votre santé.
À bientôt,
Laurent des éditions Nouvelle Page
Ce que vous écrivez est sans doute exact mais c’est très dangereux d’utiliser ces scandales pour enfoncer le clou de la peur du vaccin chez ceux qui doutent.
Quelle responsabilité sera la vôtre ne fusse que si un seul d’entre les sceptiques renonce définitivement à se faire vacciner après cette lecture et que ce dernier décède de la Covid.
Je ne voudrais être à votre place ! De plus quel manque total de respect pour le personnel médical qui lutte chaque jour pour que nous sortions de cette crise sanitaire.
Bien à vous.
Quel commentaire affligeant… Moi je vous pose la question : comment ete vous sûre que le vaccin covid ne présentera pas d’effets secondaires à moyen long terme ? Et si des effets secondaires graves apparaissent dans 5 ans, qu’elle sera votre responsabilité auprès des gens que vous aurez influencé ??? Surtout que ces médicaments avaient eu une autorisation de mise sur le marché en bon et due forme… Avec tous les essais cliniques fait avant la mise sur le marché ! Et qu’ils avaient été utilisé sur des gens malades ! Le vaccin covid est une technologie sur laquelle nous… Lire la suite »
Bonjour Estelle g, Et moi qui commençais à penser que je venais d’un autre monde. Merci mille fois pour cette réponse et ce terme si important: « Le Principe de Précaution ». On a (ou a va) vacciné des milliards de personnes avec des vaccins expérimentaux (ils fonctionnent sans doute contre le Covi-19, ce n’est pas le sujet), quand on voit ce que ça a donné avec certains traitement autorisés, il y a de quoi avoir peur. On dit aux femmes enceintes, allez-y vaccinez-vous, il n’y a aucun risque pour votre enfant. Quel recul peuvent-ils avoir sur un vaccin de moins de… Lire la suite »
Et on voudrait nous vacciner ?
voilà pourquoi pour une fois c’est la population qui décide de mettre la France en tête !!
Et ensuite la vérité dur les vaccins lequel
est le mieux pour la covide variant et à quand le vaccin Sanofi européen big pharma dehors
Y aura-t-il UNE personne courageuse pour publier les dangers des vaccins anti covid et hiérarchiser les difféents vaccins quant à ces dangers?
Bonjour,
Je partage votre analyse et les faits rapportés que que je ne connaissais pas tous.
Sur la position des Français sur la vaccination Covid, vos dernières références reposent sur un sondage d’octobre 2020.
Ne pensez – vous pas que ce chiffre a peut -etre diminué aujourd’hui? Je connais même dans mon entourage des personnes qui ne voulaient pas de vaccin et qui, devant le pass sanitaire, passent à l’acte notamment pour voyager au dehors de nos frontières ou simplement toujours par peur de ne pas pouvoir agir comme ils l ‘entendent.
Bonne journée à vous
Merci d’enfoncer le clou souvent.
Salut à toutes les personnes intelligentes .Il y a au monde 200 pays , je pense , mais on ne trouverait jamais un gouvernement plus menteur ,plus sans scrupule que ceux qui dirigent la pauvre France, et ça dure depuis plusieurs décennies.Ne critiquez pas Poutine , il est comme il est , mais c’est un homme d’une intelligence redoutable!!!
Après la lecture de votre article, faut-il se faire vacciner avec pfizer,?
Bonjour
Je ne veux pas me faire vacciner contre le covid 19, je ne crois pas à un vaccin fiable
bonjour
pourquoi ne pas assigner tout ce beau monde via la cnil car le pass securite est une belle mascarade aussi (sans jeu de mots)
Bravo pour votre article ,mais le titre m a fait passer à coter un pensant que l on pointait du doigt encore les personnes qui ne voulaient pas là vaccination…. donc je pense que l article n a pas été lu par certaine personne .. mais cela peut justement aussi attirer les bons petits moutons qui offre leur corps à la science… 😉
Je suis tout à fait d’accord avec ces mises en garde et j’ai vraiment l’impression de vivre au milieu de moutons de Panurge car reconnaissons que beaucoup de personnes qui sont contre cette vaccination se font tout de même vacciner sous le prétexte » Tu comprends , si on n’est pas vaccinés on ne pourra pas voyager librement ! » . Voilà donc le mot clef, celui qui ouvre la porte à cet abus de vaccination , le mot « liberté » ! De crainte de perdre leur liberté de circuler où bon leur semble, les récalcitrants acceptent tout simplement de se… Lire la suite »
Et aujourd’hui que pensez vous des médicaments qui sont prescrits à tort et à travers aux dt2
qui vont leur faire perdre 4 kg en un an souvent créer des problèmes à leur thyroïde . l’industrie elle dit à ne pas prescrire plus de 1 mois et il est comme ptndsnt des années
Vous avez oublié la (ou le ?) thalidomide « Plus de 50 ans après, la tragédie du thalidomide refait surface. Ce médicament fabriqué en Allemagne fut prescrit à la fin des années 1950 et au début des années 1960 comme moyen « sûr » pour traiter les nausées matinales, les maux de tête, la toux, les insomnies et les rhumes. Chez les femmes enceintes, il a provoqué la mort et des malformations chez des milliers de nouveau-nés dans de nombreux pays européens. Les victimes continuent de se battre pour un juste dédommagement dans plusieurs pays de l’Union. Dans une résolution adoptée le 15 décembre 2016, les députés… Lire la suite »
Un grand merci pour vos articles éclairés, fournis, détaillés, factuels et très informatifs !
Quand va-t-on enfin réagir, avoir le courage de s’élever contre la toxicité des « injections » contre la Covid-19, car ce ne sont pas des vaccins ! La plupart des gens ont tellement peur qu’ils ne prennent pas la peine de s’intéresser aux conséquences désastreuses de l’inoculation de ces produits dans un organisme humain. J’espère que vous ferez un reportage sur ce sujet et vous en remercie.
Que signifie votre réponse à mon commentaire : « en attente de modération » ?
Ne pouvons-nous écrire librement ce que nous pensons sur votre site ?
Et le scandale du Levotyrox du Laboratoire Allemand Merk ….quasi passé sous silence ou presque ( Merci Madame Duperrey….
Chapeau vous avez le courage de démontrer tous les mécanismes de la mise sur le marché des nouveaux produits pharmaceutiques . le scandale à venir avec ces soi-disant vaccins contre le corona virus ou covid 19 sera pire: on ne connais pas les effets à cours , moyens et long termes de la mixtures contenues dans les produits injectés. on le dit non obligatoire mais on vous demande d’avoir un passeport santé pour vous déplacer ou le must le carré codé sur votre téléphone cela a pour moi une résonnance : l’étoile jaune protée par les Juifs et les camps… Lire la suite »
Bj.ce n’est pas en « relatant » toutes les erreurs passées des Labo. Que nous sortirons + vite de ce Covid..a part se faire vacciner…je ne vois pas à ce jour comment en sortir…pour info..nos labo. ne sont pas concernés par les vaccins ..puisque les principaux viennent des Etats Unis..
on sait depuis des decennies que nos politiques sont meles et touchent des dividendes de certains labos ils ont les mains sales et sont responsables des vctimes de tous ces empoisonnement ,nous verrons la suite apres le proces des anti conseils du docteur Raoul et du docteur Perrone ,qui ont su sortir du panier de crabe avant que la verite sorte .Les chaines televisees a la solde du gouvernement changeront de ton .Le film de Madame Frachon devrait etre passe dans les ecoles .
Bonjour,
Notre sante est bien le dernier soucis de nos politiques et pire, des dirigeants des laboratoires. Je rajouterai à la liste des scandales, en 1986 des nourrissons déclarés décédés par mort subite de nourrisson, suite à une vaccination (je crois que c’est le tetracoque). Et ceux qui se posent des questions et veulent se soigner différemment, on les enferme. Sommes nous dans un pays libre !!!
Merci de rappeler à la population tous ces scandales de la Big Pharma dont le prochain sera le scandale de la crise Covid et de ses vaccins inutiles et dangereux, comme le démontre, entre autre, le collectif créé par l’ex-Co-président de Pfizer. Il doit savoir de quoi il parle.
https://www.cielvoile.fr/2021/05/texte-d-alain-tortosa-sur-la-crise.html
Et là, ce sera assurément le scandale du siècle!
J’ai été soignée par « ANDROCUR » pendant plus de 10 ans pour de l’acné d’adulte par un gynécologue. J’ai développé un méningiome opéré en 1999. Je me pensais à l’abri et j’ai eu beaucoup de chances dans les suites opératoires. Pour éviter des crises d’épilepsie on m’a prescrit du TEGRETOL qui m’a provoqué d’atroces effets secondaires dont rhumatologiques, à vie… Or en 2017 je redéveloppe un second méningiome qui me laisse dans un total désarroi car je vais avoir 80 ans cette année, en pleine forme et très active. Je me vois donc condamnée à courte échéance et vis dans la… Lire la suite »
Bravo pour votre initiative et bonne continuation. Quand on lit ce qu’on lit, qu’on voit ce qu’on voit et qu’on entend ce qu’on entend ce n’est pas un Beauvau de la police qu’il nous faut mais un vandôme de la justice et on a raison de penser ce qu’on pense.
t-ellement vrai les gens sont aveuglie il croive qu’un vaccin est la solution a tout