Face à la pandémie de Covid-19, deux modèles s’affrontent.
D’un côté, souvent dans les régions favorisées, ceux qui s’en remettent à la science « de pointe » et à ses vaccins high-tech.
De l’autre, ceux qui se tournent vers leurs traditions ancestrales.
Plus qu’un clivage entre riches et pauvres, ce sont deux conceptions de la santé et de la médecine qui s’expriment.
La première, pourtant a priori la plus puissante, se sentant paradoxalement menacée par la seconde.
Quand l’Afrique tient bon…
Selon le décompte de l’université Johns Hopkins, près d’un an après les premières détections, l’épidémie de coronavirus a fait plus d’1,3 million de morts dans le monde pour 56 498 113 cas recensés1.
Les États-Unis occupent la tête de ce sombre classement, suivis de l’Inde et du Brésil.
En revanche, seuls 2 pays africains figurent dans les 40 premiers de la liste : l’Afrique du Sud et, loin derrière, le Maroc.
Pourtant, les prévisions concernant le continent étaient des plus pessimistes.
Par exemple, on avait projeté 600 000 cas en Ouganda pour le mois de septembre 2020 et 30 000 décès.
La réalité est toute autre : à cette date, on y recense 18 165 cas pour 181 décès.
L’Afrique est, sans aucun doute et contre toute attente, le continent qui s’en sort le mieux face à la pandémie.
Et l’Inde, pourtant 2ème du classement en nombre de cas, compte, ne l’oublions pas, près d’1,4 milliard d’habitants.
Avec 135 715 décès à déplorer, son taux de mortalité Covid est donc de 7,73… quand il frôle les 65 aux États-Unis !
… l’OMS y perd son latin !
Parce qu’il faut bien le reconnaître : le code génétique du virus, dûment analysé sur tous les continents, est le même partout.
L’Afrique n’a pas eu droit à une demi-mesure de Covid-19.
L’OMS ose prudemment des hypothèses2 :
- faible densité de la population ;
- climat chaud et humide ;
- population majoritairement jeune ;
- meilleure préparation aux maladies infectieuses ;
- « des mesures de santé publique énergiques et décisives prises par les gouvernements de toute la région ».
Doit-on en déduire que les mesures européennes n’étaient pas à la hauteur ?
Un autre chercheur avance que les populations africaines vivent beaucoup en extérieur et que le virus se transmet peu à l’air libre.
À quoi servent donc nos masques dans la rue ?
Objectivement, l’OMS concède que les raisons pour lesquelles certains pays sont moins touchés que d’autres restent assez mystérieuses pour le moment.
LA méthode dont on ne parle pas mais qui pourrait tout expliquer
Pour ma part, j’ai ma petite idée sur la question.
Dans certaines régions du monde, la prise en charge des malades est souvent mise à mal par le manque de moyens.
En toute logique, ces pays devraient connaître une vague de décès catastrophique. Pourtant, ce n’est pas le cas.
L’explication pourrait venir du « système D » mis en place par les populations locales.
Que font-elles exactement ?
Elles se tournent vers la tradition, pardi !
Sous l’œil parfois ironique de scientifiques haut placés, qui feraient pourtant bien d’en prendre de la graine.
Le Comando matico à la rescousse
Au Pérou, les communautés reculées, touchées par la Covid-19, sont privées d’accès aux hôpitaux, abandonnées par l’État et sans moyens pour acheter des médicaments.
Elles ont donc recours au savoir ancestral et à ses plantes médicinales.
Ainsi est né, au mois de mai 2020, le Comando matico, créé par de jeunes indigènes Shipibos Conibos pour secourir les malades du coronavirus.
Tous les matins, une quinzaine de bénévoles récoltent du matico, une plante médicinale régionale, et l’associent à d’autres plantes dans des préparations à boire ou à inhaler.
« Cette pandémie nous a conduits à nous tourner vers les plantes et c’est un succès »
Mery, membre active du Comando.
Le Dr Martha Villar, qui dirige le service de médecine complémentaire de EsSalud, la Sécurité sociale péruvienne, assure :
« Les plantes médicinales ont toujours joué un rôle important dans la médecine à travers le monde. D’ailleurs, 25 % des médicaments sont dérivés de plantes. Dans le cas du matico, il est utilisé depuis de nombreuses années au Pérou, principalement pour soigner les plaies infectées ou en infusion contre les maladies respiratoires, car il a une action antibactérienne. »
À Madagascar, l’artemisia fait fureur
Originaire d’Asie, cette plante est utilisée en médecine traditionnelle chinoise depuis des siècles.
Tout comme la fameuse hydroxychloroquine, elle agit comme antipaludique.
Efficace ou pas contre la Covid-19 ? Scientifiquement, rien ne le prouve.
Cependant, le Président malgache affirme qu’une boisson à base d’extraits de la plante, baptisée Covid-Organics, pourrait constituer un remède.
Les espoirs sont tels que des pays africains, comme la République démocratique du Congo, vont lancer des essais cliniques pour mesurer son efficacité contre la Covid-19.
D’ailleurs, l’intérêt pour l’artemisia dans le contexte d’épidémies de coronavirus ne date pas d’hier…
Pendant l’épidémie de SRAS en Chine, au début des années 2000, des études avaient souligné ses propriétés antivirales. Des essais cliniques sur les effets de la médecine traditionnelle chinoise (dont l’utilisation d’artemisia) avaient été menés, avec à la clé des résultats prometteurs3.
En Inde, l’ayurveda reste une valeur sûre
La population indienne a reçu des conseils du ministère de l’AYUSH (ayurvéda, yoga et naturopathie) pour se prémunir contre la pandémie4.
Suivant la tradition, pour favoriser l’élimination des toxines, les Indiens consomment tout au long de la journée des infusions de plantes ayurvédiques, dont, entre autres, la résine de boswellia et le basilic sacré.
En Afrique de l’Ouest, on s’arrache le neem
Dès l’annonce des premiers cas de contamination, la Côte d’Ivoire a été en proie à des scènes dignes de jours de solde.
Un peu partout dans le pays, la population s’est ruée sur le margousier, plus connu sous le nom de neem, pour recueillir ses feuilles, connues pour leurs vertus thérapeutiques, notamment contre le paludisme.
On leur prête aussi dans la région une efficacité contre le coronavirus.
L’usage des plantes est-il à l’origine du faible taux de contamination à la Covid-19 dans les pays restés proches de leurs traditions médicinales ? L’avenir le dira peut-être.
En attendant, l’hypothèse retient toute mon attention.
Et vous, qu’en pensez-vous ?
Merci mais j’ai 72 ans et en bonne santé !! pas de médicaments et cette année je me suis pourvu de l’Artémisia et j’en bois de temps en temps ! c’est vraiment une plante qui en 1heure vous remets a plomb! et j’en ai aussi offert autour de moi dans ma famille et des amis qui m’ont vraiment remercier !!
Bonjour,
Pourrait-il y avoir une relation avec la vitamine D ? Je pense que les africains sont moins en carence.
cordialement
je pense que si on avait laissé le professeur RaOULT faire son boulot avec son traitement on en serait pas là que si on avait demandé à la population de renforcer ses défenses immunitaires lors du passage à l’hiver avec du miel de la gelée royale du pollen de la propolis un demi citron pressé bio de préference pour ceux qui ne peuvent pas pour des raisons de prix ne peuvent se procurer de la gelée royale on en serait pas là que si on défendait dans le corps médical la santé naturelle on en serait pas là et que… Lire la suite »
et j’ai oublié la vitamine c liposomale la vitamine b6 b12 le magnésium et le zinc
Vitamine c ds les fruits agrumes tomates ..l artemesia contient du zinc l orge contient le groupe des vitamines b
Bonjour
Concernant l’Afrique la pyramide des âges est probablement l’un des facteurs explicatifs… Là bas des plus de 75 ans ne doivent pas être nombreux, peut être aussi peu d’obèses ou diabétiques…
C
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d
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m
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Non l artemesia
[…] https://nouvelle-page-sante.com/artemisia-ou-moderna-pfizer-ou-covid-organics/? […]
Bonjour Laurent, je reviens de Madagascar où j’ai été traité pour le covid19. Ma compagne n’a jamais été sensible à ce virus alors qu’elle m’a suivi pendant tout le traitement avec pour seule protection un masque en tissus qui ne protège de rien, et en privé, elle ne le portait pas. Elle est d’origine de cette région de l’océan indien. Pour mon protocole j’ai été traité par celui du docteur Raoult que j’avais pu acheter librement et sans ordonnance. Le médecin m’a fait toutefois l’ordonnance.C’est ainsi à Mada. Après 3 semaines de lutte sans traitement car je croyais avoir la… Lire la suite »
Tant mieux pour vous Quels sont les gestes ???
L attitude de prière prosternation a montré son effet recommandé par un médecin américain
[…] L’OMS a aussi fait le constat de cet état de fait : l’Afrique est moins touchée par la pandémie. Une étude sur ce phénomène est en cours, mais je ne pense pas que les bienfaits de l’Artemisia annua figureront dans le rapport des experts. L’OMS a déjà publié ses réticences concernant l’Artémise pour en savoir plus. Pourtant les preuves humaines sont là et les pays orientaux (la Chine entre autres) utilisent cette plante depuis 2000 ans au moins, en particulier contre le paludisme. Comme des similitudes entre le paludisme et la Covid19 ont été mises en évidence, des pays comme Madagascar… Lire la suite »
Les africains s´en sortent bien parce qu´ils font usage des plantes medicinale: fusion et infusion (inhalation).
Je suis dr elbey rajaa médecin nutritionniste et diplômée de gynécologie médicale et généraliste au Casablanca Maroc.
Je prescris de l artemesia une cuillère a soupe par jour en infusion a boire et a inhaler et ca marche
Dieu merci .