Le soja a de quoi rendre fous ceux qui s’intéressent à la nutrition !
Je dois bien le reconnaître, moi-même, je ne suis pas épargné par les doutes qui planent autour de cet aliment à la mode.
J’ai donc mené l’enquête en étant aussi neutre que possible. Pas simple mais instructif !
Et ma vision, plutôt suspicieuse à l’origine, a en partie été modifiée par cette enquête.
Je vous laisse découvrir pourquoi dans les lignes qui suivent.
Le soja sur le banc des accusés
Le soja fait actuellement l’objet de nombreuses remises en question. Parmi les accusations qu’il subit :
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il serait un perturbateur endocrinien ;
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il favoriserait certains cancers (celui du sein en particulier) ;
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il empêcherait notre système digestif de bien absorber les nutriments ;
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sa culture serait dévastatrice pour l’environnement…
Alors pourquoi sa consommation est-elle si prisée ?
Le végétal le plus protéiné
Avant de surfer sur un effet de mode, consommer du soja avait un but précis : faire le plein de protéines végétales pour les végétariens et végétaliens.
Le soja en contient en moyenne 30 grammes aux 100 grammes !
Cela en fait le végétal le mieux pourvu juste avant la graine de chanvre ou la moringa.
Autre avantage, la protéine de soja apporte tous les acides aminés dont notre organisme a besoin ce qui n’est pas le cas des autres végétaux. La lysine est en effet peu présente dans les céréales, et la méthionine dans les légumineuses.
Enfin, il permet de palier à l’inconfort de la ménopause. On le retrouve par conséquent très souvent dans les compléments alimentaires destinés à cet usage.
Perturbateur endocrinien : le débat n’est pas clos
On accuse le soja de contenir des phyto-œstrogènes, qui perturberaient le système endocrinien.
Pour être exact, la question se situe autour des isoflavones du soja. Ce sont ces molécules précisément que l’on accuse de dérégler le système endocrinien en augmentant le taux d’œstrogènes de notre organisme. Elles appartiennent à la famille des flavonoïdes que l’on retrouve dans la plupart des végétaux et leur structure moléculaire est proche de celles de nos œstrogènes.
Mais le raccourci est un peu rapide.
À ce jour, les isoflavones ne sont pas répertoriées comme ayant un effet néfaste sur le système endocrinien. D’ailleurs la composition chimique des phyto-œstrogènes et des œstrogènes ne sont pas vraiment les mêmes. Les hormones féminines sont solubles dans les lipides, alors que les isoflavones le sont dans l’eau.
J’ajoute que c’est la flore intestinale qui permet aux isoflavones de devenir actifs. Seuls 30 % des hommes et des femmes réalisent cette transformation en fonction de la composition de leur flore.¹
Tout dépend donc des individus.
Sachant cela, qu’en est-il du cancer du sein qui serait favorisé par ces phyto-œstrogènes ?
Les études épidémiologiques¹ montrent que la consommation de soja contribue à réduire le risque de survenue de cancer du sein lorsqu’elle est commencée avant l’adolescence et maintenue tout au long de la vie. C’est le cas pour les femmes asiatiques qui bénéficient de cette protection du fait de leur grande consommation depuis le plus jeune âge.
Cependant, pour les personnes atteintes d’un cancer du sein ou ayant des antécédents, mieux vaut s’abstenir de prendre des suppléments contenant des isoflavones et limiter l’apport alimentaire en isoflavones.
Le hic de l’acide phytique
Le soja, mais aussi bon nombre de céréales et de légumineuses comme les pois chiches, les lentilles ou les haricots rouges contiennent de l’acide phytique.
Il s’agit d’une molécule présente au niveau de l’enveloppe de la graine qui a pour fonction de retenir les minéraux afin qu’ils soient disponibles lors de la croissance ultérieure de la plante (au moment de sa germination).
En se fixant au magnésium, au calcium, au fer et au zinc, il emprisonne tous ces éléments et limite considérablement leur absorption par l’organisme.
Consommer beaucoup d’aliments riches en acide phytique peut donc, à terme, provoquer des carences en nutriments.
Pour éviter cela, il suffit de consommer le soja sous sa forme fermentée, en privilégiant la sauce tamari, le miso ou la nato par exemple. Le processus de fermentation neutralise en effet l’acide phytique.
Un conseil : lorsque vous consommez des légumineuses, faites-les tremper dans un peu d’eau la veille au soir. Cela provoque un début de germination, l’acide phytique commence donc à se dégrader de lui-même, sa quantité diminue donc fortement.
En ajoutant un peu d’acidité le résultat est encore meilleur. Versez un peu de jus de citron dans votre eau et le tour est joué !
Un allergène plus courant que l’on ne le croit
Le soja est un allergène à déclaration obligatoire (ADO) au même titre que les fruits à coque, les œufs, les mollusques etc… L’allergie au soja concerne environ 7 à 14 % des enfants et 3 % des adultes.
Ce type d’allergie touche les poumons, le système digestif et la peau.
Mais encore une fois, le soja sous sa forme fermentée (miso, shoyu ou sauce de soja) ne présente plus de risque.
Si vous n’êtes pas allergique au soja, inutile de vous inquiéter.
En revanche, si vous l’êtes, je vous recommande de faire attention à l’étiquetage des aliments préparés que vous achetez car on trouve du soja caché un peu partout.
Par exemple dans les plats contenant de la viande dite « préparée », les produits laitiers, les produits de boulangerie, et même les laits pour bébés.
Attention aussi aux huiles de massages, et à certains cosmétiques !
Gare à l’acidité
Les aliments que l’on considère comme acidifiants sont ceux qui libèrent des métabolites acides lors de leur digestion et de leur utilisation dans les cellules.
Le soja en fait partie.
Ce n’est pas un problème en soi, mais cette acidité vient s’ajouter à d’autres facteurs acidifiants courants dans notre mode de vie actuel. Citons entre autres la pollution, la sédentarité, le stress et les aliments transformés consommés en grande quantité.
Il faut donc veiller, lorsqu’on consomme beaucoup de soja, à bien équilibrer son alimentation. Je vous recommande de veiller à apporter des éléments alcalinisants (basiques) comme les légumes verts, les fruits frais (les bananes sont championnes en la matière), les aliments riches en minéraux, les oléagineux à vos plats.
N’oubliez pas non plus que l’activité physique pratiquée de façon raisonnable réduit l’acidité.
La culture du soja, une catastrophe écologique ?
Là, il est vrai que la question semble tranchée. Le soja demande une monoculture qui épuise les sols et ne respecte pas la biodiversité.
De plus, il fait partie des quatre cultures OGM commercialisées dans le monde, avec le maïs, le coton et le colza.
En 1990, la production mondiale s’élevait à 108 millions de tonnes.
En 2016, ce chiffre a dépassé les 334 millions de tonnes, selon la FAO (organisation des Nations-Unies pour l’alimentation et l’agriculture).4
Les principaux pays producteurs de soja sont les États-Unis, le Brésil et l’Argentine. Or, dans ces pays justement se posent d’énormes problèmes de déforestation et de conversion d’écosystèmes naturels en plantations.
Autre point à soulever : la majorité du soja cultivé dans le monde est OGM. Réjouissons-nous, en France, il est (pour le moment) toujours interdit de cultiver du soja transgénique.
En pratique, les fabricants de « soy food » (aliments à base de soja) français utilisent à 99 % du soja local et il n’y a que deux bassins de production (le sud-ouest et l’est de la France).
Si vous achetez un produit au soja fabriqué en France, il est donc très certainement sans OGM et non issu de la déforestation.
Généralement, les marques européennes offrent les mêmes garanties. Pour s’en assurer, il faut prendre le temps de décortiquer les étiquettes et les sites des marques.
5 000 ans de soja
Je vous laisse sur cette constatation simple : il y a 5 000 ans que le soja est cultivé et consommé en Chine et au Japon sans qu’aucune catastrophe de santé publique ne soit à déplorer.
Cela me semble un argument solide pour affirmer que le soja ne représente pas un danger.
Il mérite selon moi une place dans notre alimentation.
Si vous décidez d’en consommer, attention donc à bien le choisir : privilégiez sa forme fermentée et des productions locales.
Bonjour, je note une certaine incohérence dans cet article, ( ou du moins une imprécision apparente ). D’une part ceci : Le hic de l’acide phytique En ajoutant un peu d’acidité le résultat est encore meilleur. Versez un peu de jus de citron dans votre eau et le tour est joué ! … et d’autre part cela : Gare à l’aciditéLes aliments que l’on considère comme acidifiants sont ceux qui libèrent des métabolites acides lors de leur digestion et de leur utilisation dans les cellules. Le soja en fait partie. Ce n’est pas un problème en soi, mais cette acidité… Lire la suite »
Acidifiant ou basifiant (« alcalinisant ») tout est relatif parce que bien des produits biologiques sont « ampholytes » ou « amphotères »: selon le contexte:en présence ou du degré d’acidité/alcalinité du milieu,valeur du pH) le « comportement » du produit considéré change : en présence d’un produit plus acide que lui, il « régresse » son degré d’ ionisation et se comportera comme « base » ou « basifiant » et inversement ; sûr que face à l’acide phytique (qui contient de ,l’acide phosphorique) le citron(acide citrique) a une « acidité « (ionisabilité) » plus faible (force et faiblesse sont définies par une constante physico- chimique (disponible dans des tables) et appelée pK) plus « faible » que… Lire la suite »
en gros c’est magique le citron ^^
Merci pour votre article précis. Ayant déjà lu beaucoup de choses sur ce soja plein de questions.
Puis-je vous demander une précision : vous évoquer la question de l’acide phytique.
Depuis trois ans je fabrique et consomme des aliments fermentés (végétarienne, sans gluten et sans lait) et depuis quelques mois je fermente les pois-chiches (j’en fait un houmous) : est-ce que cela permet de bien neutraliser cet acide ?
(concernant la question de l’acidification : je bois de l’eau Kangen qui est basifiante)
Merci par avance pour votre réponse.
Cordialement
Myriam Tangi
L’eau Kangen est une grande arnaque Mme !!! je vous conseille d’arrêter au plus vite la conso de cette eau qui dérègle le PH de l’organisme et des fluides car bcp mais bcp trop basique …..l’eau idéale devant être légèrement acide comme l’eau des sources ….vérifiez le PH des meilleurs eau de source disponible …pour bien moins cher… sur le marché français ou pas (Mont Roucous, Rosée de la Reine, Monbazillac Lol non plutôt Montcalm) il est toujours légèrement acide et comme par hasard le PH de l’intestin qui régule tous les échanges chimiques du corps et ou tout élément… Lire la suite »
Erreur l’aliment le plus riche en protéine c’est le Lupin, taux 40% !
Le soja n’est qu’un aliment parmi beaucoup d’autres. A l’origine, l’aliment légumineux idéal, c’était le petit pois. Mais les géants de l’agronomie en ont décidé autrement …
En France et en Europe les soja cultivés sont Non OGM, ils ne participent pas à la déforestation des grandes forêts. Ils rentrent dans les assolements de nos culture de céréales et de maïs. Ils consomment très peu de phytosanitaire. Ils présentent comme toute légumineuse un atout considérable dans la rotation. Ils ne nécessitent d’engrais azotés et ceux-ci grâce à la symbiose entre leur racines et une bactérie fixatrice de l’azote l’air. Entre la plante et la bactérie c’est du donnant-donnant. La plante fournit à la bactérie du carbone sous forme de sucre ( grâce à la photosynthèse), la bactérie… Lire la suite »
Bonjour,
Merci pour ces précisions sur le soja très intéressantes. Il faut cependant ajouter qu’en ce qui concerne l’impact écologique du soja, c’est la culture intensive destinée à l’alimentation des animaux que nous mangeons qui pose problème et non pas la quantité consommée directement par les humains… Bonne journée à tous. Mannick
Le soja est theoriquement extra pour sa valeur nutritive, le hic est dans la production, sachant que les lobbies ont interdit la mention « OGM ». Par ailleurs, une forte proportion est destinee au betail, ce qui laisse presager d’une qualite moyenne…
Personnellement, j’en consommerais volontiers, mais le manque d’infos fiables me retient, cependant je consulterai les etiquettes pour me faire un avis. Merci pour cet excellent article.
il vaut mieux en effet comme vous le soulignez habilement ne pas trop se baser pour son apport de protéines sur la conso de soja car c’est (comme le blé devenu OGM et allergène de facto grâce à des siècles d’hybridation sélective pour augmenter son taux de gluten) un aliment hautement trafiqué et je dirais même devenu incompatible avec une bonne santé ….je préfère tres nettement diversifier ses apports avec un peu de Prot animales (oeufs, fromage de chèvre/brebis, volailles) et bcp de végétales qui vont être basifiante pour l’organisme (légumes verts, micro algue Spiruline, algues de mer (Kombu,Wakame,Dulse,Nori), Chanvre,… Lire la suite »
Discutons concrètement teneur du soja en ses principaux composants par exemple tout produit peur être « bon » ou « mauvais » selon l’usage que l’on envisage et le contexte de cet usage projeté :souvenons nous des langues d’Esope
En cliquant sur le natto, rien ne sort!Il est écrit : error
Merci pour cet excellent article qui m’apporte une information complète sur le soja que je consomme «modérément « et je comprends « enfin » pourquoi Il est « épinglé « pas forcément pour les bonnes raisons !
Je consomme des yaourts de SOJA BIO. Français. en alternance avec des
yaourts au lait de chèvre bio ou lait de brebis bio LOCAUX
Bonjour,
j ai une question concernant les produits remplaçant les fromages, comme Sojami lacto fermenté, et les photo-oestrogenes : ayant un cancer du sein, est ce que la fermentation annule en partie ce souci d œstrogènes trop important ds ces produits de soja ??
Merci pr votre réponse
Bonjour, merci de nous rassurer, mais le yaourt de soja industriel ou maison est-il à recommander ?
Bonjour, Avant on trouvait en biocoop du soja jaune en grain (et en vrac), de la farine de soja, aujourd’hui c’est introuvable, pourquoi? Concernant l’acide phytique, bien faire tremper au moins 24heures les grosses légumineuses, puis les faire germer, par exemple pour le pois chiche, permet d’éliminer cet acide et donc tout inconfort digestif. Je viens d’apprendre que c’est l’acide phytique contenu dans la peau les amandes qui les rendent indigestes. Je les fais tremper au moins une nuit et puis, je les consomme au fur et à mesure quand leur peau s’enlève facilement. Il en serait de même pour… Lire la suite »
Attention: rien à voir avec l’article. J’enregistre une erreur linguistique trop fréquente…: le soja ne palie pas « A » l’inconfort de la ménopause mais peut » palier l’inconfort … de la ménopause ». Merci .
Merci de corriger une erreur linguistique fréquente: palier « A » n’existe pas. Palier LES inconvénients de la ménopause est la formule juste.
Bonjour,
J’aime beaucoup le tofu que je consomme plutôt en lactofermenté.
Le soja est quand même une bonne alternative à la viande. En biocoop, on le trouve d’origine française qu’il vaut mieux privilégier.
Pour répondre à Jackiel, le citron est acide en goût mais a une action basifiante sur notre organisme donc ne pas hésiter à en prendre, bien au contraire.
J’ai l’expérience de mon épouse et de ses nombreuses amies qui, lors de leur début de ménopause, ont pris une prescription hormonale à base de soja, qui systématiquement ont relancé leurs règles; ce qui n’était pas a priori, l’effet voulu. C’était au début des années 1990…
Pareil, pour ma mère, qui ne jurait que pour le soja (lait, etc), résultat: cancer successif au deux seins en deux mois avec enlèvement des deux seins (début des années 2000).
Donc, il me semble que des personnes de mon âge, 74 ans, pourraient vous en raconter…
Merci pour ce long article.
Puis-je me permettre ceci :
non « palier », mais pallier à l’inconfort de la ménopause.
En principe, le verbe « pallier » est directement suivi de l’objet direct.
Dans ce cas : « pallier l’inconfort de la ménopause ».
La forme « pallier à » est en effet critiquée.
On peut néanmoins l’utiliser.
Sa définition, selon le Robert : atténuer faute de remède véritable.
On confond souvent « pallier » et « parer à » :
ce 2e verbe signifie faire face à, se protéger de …
Bien à vous.
bonjour,
Mon expérience de végétarien. Ma 1ere fille a consommée régulierement du soja pour le gouter et le petit déjeuner plus yaourt plus protéine de soja texturé pendant toute son enfance. Ma petite voix à un moment m’a fait sentir d’arrêter les yaourts. et puis ma fille à eu de gros problèmes au niveau des ovaires entrainant opération. Allerté par M Dogna nous avons immédiatement arrêter la consommation de cet aliment. Je ne conseil pas !
Bonjour, article très intéressants. Le dilemme dans mon entourage se situe entre les propos du corps médical qui dit attention … Et le constat sur place, d’une consommation à tout va, peut-être le plus en miso à l’air libre sur des marchés, sur des terrasses, en pays asiatiques, par des consommateurs qui semblent en pleine forme même âgées. A se demander si l’on a la bonne information ou s’il s’agit de leur cure de jouvence. Pour la consommation en France, on se limite au bio français, en espérant que la transformation d’un produit extérieur ne suffit pas à étiqueter « français ».… Lire la suite »
Dans les pays asiatiques, la preparation du soja diffère des pays européens (trempage prealable ) ce qui aurait comme consequence que les produits français au soja n’ont pas les mêmes vertues que ceux asiatiques. (De memoire, trop d’isoflavones)
je bois du lait de soja tous les matins. Est ce un bien ou un mal ? Merci de me répondre.
Cet article est incomplet et ne permet pas d’avoir une vision complète de la question soja. Il aurait fallu parlé entre autres : 1 – du lait de soja, qui lui est peu digeste et déconseillé. 2 – du tempeh – soja fermenté à recommander comme le natto miso de soja. 3 – de consommer des quantités raisonnables de soja comme il est fait dans les pays asiatiques, i.e. de petites quantités avec céréales et légumes et non des steak entier de soja. 4 – de l’effet positif de la consommation régulière et modérée (comme en Asie) de soja, sur… Lire la suite »
Bonjour, dans votre article vous soulignez que le soja cultivé est en grande partie transgénique et dans d’autres paragraphes vous analysez les éventuels risques pour la santé sans les coroler avec les dangers des transgéniques. Or le problème du soja est précisément le fait qu’il soit transgénique, ce qui implique l’utilisation de glyfosate à haute dose dans les cultures. Or le glyfosate est précisément provocateur de problèmes de santé très graves comme les cancers (pour ne donner qu’un exemple)! Si vous analysiez le problème sous cet angle, vous auriez de grande surprises. Je crois pour ma part que le soja… Lire la suite »
Bonjour, Je n’en consomme pas volontairement mais j’avoue ne pas avoir contrôlé si les aliments préparés que j’achète en contiennent. Dorénavant, je vais le faire car je n’ai pas envie d’en consommer. J’ai certains problèmes du système digestif donc je ne souhaite pas risquer de les aggraver. Il y a suffisamment d’autres aliments classiques français pour subvenir à mes besoins.
Merci pour les informations sur le soja, elles sont très intéressantes.
Bonne journée.
Bonjour. Je fabrique mes propres yaourts avec de la boisson au soja
Bonjour j ai lu votre article sur le soja,et oui j en consomme régulièrement puisque je suis atteinte de la maladie cœliaque donc je remplace le beurre les yaourts par le soja .tres instructif merci pour toutes ces recommandations bien à vous