Chers amis,
Ici le Dr Antoine Demonceaux.
L’urgence sanitaire a bousculé les règles de la médecine.
Pour la première fois dans l’Histoire, des médicaments ou des vaccins en cours d’étude ont été mis sur le marché, alors que les essais thérapeutiques prennent habituellement plusieurs années.
D’ailleurs, la pandémie a également permis d’atteindre des records en matière d’études frauduleuses (on les estime à plus de 20 000) et le nombre de rétractations de publication est en hausse constante.
Que pensez alors de tous ces nouveaux traitements et vaccins, alors même que les effets secondaires, eux, sont plutôt étudiés au fil de l’eau ?
Je vous propose de passer en revue les traitements (anciens, « miracles » ou étonnants) disponibles à ce jour ou en cours d’études.
Le salut ne passe pas forcément par le tout vaccin ou les pilules « miracle » à 608 €.
Contre la Covid, rien ne marche ?
Selon le discours officiel à ce jour, aucune molécule n’a fait la preuve de son efficacité tant en prévention qu’en traitement de la Covid-19 … bien que de nombreuses études dans le monde prouvent le contraire.
La prise en charge (toujours officielle) est uniquement symptomatique. Cela signifie qu’on ne cherche pas à guérir le patient, mais à traiter les manifestations de la maladie.
Les médicaments prescrits sont alors le paracétamol, la cortisone, récemment acceptée pour l’inflammation, ou les antibiotiques en cas de surinfection.
Lorsque l’aggravation survient, une hospitalisation est nécessaire avec mise sous oxygène et corticothérapie pour atténuer les effets de l’inflammation sur la respiration.
Doucement avec le paracétamol !
Si vous avez déjà eu la Covid, il est possible que l’on vous ait prescrit du paracétamol, un antidouleur bien connu. Il est donné comme la panacée universelle pour traiter les symptômes de la Covid-19, pourtant, ses effets sont limités.
Son activité anti inflammatoire est très faible, mais surtout, en risquant de masquer certaines réactions de l’organisme, il pourrait favoriser l’orage cytokinique.
De plus, ce médicament, hépatotoxique de surcroît, n’est pas dénué d’effets secondaires.
La cortisone, elle, me semble plus intéressante. Elle a été pendant un temps controversée, mais est actuellement admise dans tous les services de réanimation pour aider à mieux contrôler l’inflammation.
Je l’ai utilisée au début de la pandémie en EHPAD avec de bons résultats, associée à un apport d’oxygène pendant un temps où la seule recommandation officielle était… le paracétamol.
La molécule miracle anti-Covid … serait cancérigène
C’est le scoop de ces dernières semaines, la France vient de passer commande de 50 000 doses de Monulpiravir, un médicament antiviral produit par le laboratoire Merck. Son prix en France n’a pas été dévoilé, mais on sait qu’aux Etats-Unis, il coûtera environ 700 dollars1.
Ce produit, déjà connu pour ses propriétés antivirales, n’a jamais été développé auparavant.
D’après l’analyse intermédiaire produite par le laboratoire, ce médicament réduirait de près de 50 % les hospitalisations et les décès.
L’étude précise que ces résultats sont obtenus si la substance est donnée moins de 5 jours après le début des symptômes.
Cette étude d’efficacité a été réalisée sur 400 patients et arrêtée rapidement devant les effets positifs.
Une demande « en urgence » de mise sur le marché a ensuite été obtenue auprès des autorités sanitaires américaines, justifiée par la gravité de la situation pandémique.
Dans cette jolie « success story », ce que l’on ne dit pas, c’est que ce médicament est potentiellement cancérigène2.
Apparemment, tout est une question de posologie.
Mais il est tout de même prévu d’en produire 10 millions de doses à destination des pays qui pourront payer…
Les anticorps monoclonaux contre la Covid
Depuis le 15 mars, deux médicaments de cette classe sont présents en France3.
Ils sont essentiellement réservés aux adultes et aux enfants de plus de 12 ans présentant des facteurs de risque connus.
Ces substances ciblent la protéine S (spike) située à la surface du virus et l’empêchent de se fixer et de pénétrer dans les cellules humaines.
Il permettrait aussi de diminuer le risque de transmettre la Covid-19 au sein de la famille4.
Pour être efficaces, ils doivent être administrés moins de 5 jours après le début des symptômes.
Un comprimé pour « inhiber » le virus
Développé par le laboratoire Pfizer, ce médicament, « inhibiteur de protéases », permettrait de limiter la réplication du virus dans nos cellules. Il serait associé à un antiviral utilisé contre le VIH (SIDA). Pris dès les premiers signes d’infection, il empêcherait la diffusion du virus dans le nez, la gorge et les poumons.
Il est en cours d’évaluation.
Les deux traitements qui déchirent la France
Le premier de ces traitements, c’est l’ivermectine, un traitement antiparasitaire qui a fait ses preuves dans de nombreux pays dont l’Inde. Malgré cela, certains scientifiques arguent que la baisse de l’épidémie en Inde n’est pas du fait de l’ivermectine mais de la courbe naturelle d’une épidémie…, bien que cette même logique ne s’applique pas avec d’autres prises en charge comme la vaccination par exemple.
Il est intéressant d’observer comme on fait parfois dire à des chiffres précisément ce que l’on aimerait entendre !
Il semble qu’un procès d’intention soit en cours pour retarder la mise sur le marché de ce médicament et permettre aux autres challengers (plus rémunérateurs) de participer à la course anti-Covid.
L’agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) a affirmé : « Nous ne pouvons pas présumer d’un rapport bénéfice/risque favorable de l’ivermectine en traitement curatif ou en prévention de la Covid-19. »
Mais elle souligne toutefois la nécessité de mettre en place de larges études cliniques randomisées « en vue de conclure sur la base d’une méthodologie adaptée à la possible utilisation de l’ivermectine dans le contexte de la maladie Covid-19 ».
Dois-je rappeler que le Monulpiravir n’a eu, lui, besoin que d’une étude tronquée sur 400 personnes pour être accepté !
Notons que l’ivermectine n’agit pas sur la réplication virale mais qu’elle a un effet intéressant sur l’inflammation, facteur majeur de Covid grave.
L’Hydroxychloroquine
Je ne m’attarderai pas plus sur cette molécule qui subit le même sort que l’ivermectine.
Des traitements surprenants à l’étude contre la Covid-19
De nombreux traitement sont aujourd’hui à l’étude, certains classiques, d’autres plus surprenants !
Le budésonide, prometteur
Cortisone inhalée utilisée dans l’asthme, elle a été expérimentée dans les troubles respiratoires avec des résultats prometteurs.
A suivre … !
La sérothérapie : le technique des vampires contre la Covid-19
Cette technique a fait ses preuves lors de l’épidémie de la grippe H1N1 et du virus Ebola. Elle consiste à prélever le sang de patients ayant la Covid-19 pour le transfuser à des malades dans le but de booster leurs défenses immunitaires.
Le sang des patients guéris contient en effet des anticorps spécifiques contre ce virus.
Encore à l’étude, l’indication de cette thérapie est limitée à certains patients en milieu hospitalier.
Et les anticorps de lama ?
Cet animal des Andes produit des anticorps naturels très petits (nano-anticorps) très efficaces contre les infections, notamment virales.
Une technique originale et naturelle.
La technique révolutionnaire de l’hôpital de Grenoble
Le CHU de Grenoble teste pour nous de l’hydrogène dissoute dans l’eau. L’hydrogène est en effet un puissant antioxydant et pourrait réduire considérablement l’orage cytokinique si dévastateur dans les cas de Covid grave.
Le Fénofibrate, anti-cholestérol et antiviral ?
Le fénofibrate est un médicament bien connu, très bon marché et aux effets secondaires peu importants couramment prescrit comme anti-cholestérol.
Il pourrait réduire l’infection de 70 %.
Aura-t-il la possibilité de lutter contre les nouveaux arrivants ?
Les traitements naturels, des valeurs sûres pour la prévention et contre l’inflammation
La Vitamine D
Si une dose élevée de vitamine D n’a pas fait la preuve de son efficacité dans le traitement de la phase aiguë de la Covid-19, elle a son intérêt en prévention.
Le Zinc et la vitamine C
Le Zinc et la vitamine C, comme le fer, jouent un rôle important sur l’inflammation. Ils ne préviennent pas d’une éventuelle infection virale, mais permettent aux défenses immunitaires de jouer un rôle plus efficace. Nous savons que le niveau de l’inflammation est proportionnel à la capacité de défense de notre organisme. S’il se défend bien, les conséquences de la Covid-19 seront moindres.
La vitamine B6
Cette vitamine joue un rôle très important sur les facteurs d’inflammation notamment chroniques. La vitamine B6 a en effet un effet protecteur sur certaines maladies chroniques comme le diabète ou les maladies cardiovasculaires en supprimant le stress oxydatif et l’inflammation.
Elle agit également sur la coagulation, problème crucial lors des infections virales par le SarsCov-25.
Or, l’inflammation chronique fait chuter son taux sanguin et il peut alors être nécessaire de se supplémenter.
Pour rappel, les aliments qui contiennent de la vitamine B6 sont principalement : les viandes, poissons, œufs, pommes de terre et les fruits autres que les agrumes.
Les pharmacopées traditionnelles
L’arbre à pic ou l’artemisia sont des plantes traditionnellement utilisées dans certains pays qui n’ont pas toujours la possibilité de se payer des médicaments récents et très coûteux.
Bien que sans activité antivirale, ces plantes ont fait leurs preuves sur l’inflammation dans ces pays, mais cela ne peut suffire à vaincre les sarcasmes de ceux qui détiennent la vérité par les preuves.
Vous le voyez, les options contre la Covid ne manquent pas !
Malheureusement, une validation par les études ne signifie pas forcément un consensus scientifique.
Entre les deux, une marge existe dans laquelle se glissent souvent les lobbies pharmaceutiques.
L’ivermectine et l’hydroxychloroquine en sont de bons exemples.
Dans tous les cas, n’oublions pas les principes simples de bonne santé valable en tout temps : une alimentation saine, une activité physique régulière et une bonne gestion de nos émotions.
Ces trois piliers restent nos meilleurs atouts pour protéger nos organismes.
A bientôt,
Antoine Demonceaux
🌺🌾Huiles essentielles déconseillées si maladies AUTO IMMUNES.QUE FAIRE ?
on est dans un systeme intellectuelle (surtout en occident) qui patauge dans le mensonge, la cupidite, l’hypocrisie, le deni de réalité, la corruption, l’aveuglement programmé des l’enfance, les maladies inventées de toutes pieces et calculé par l’AI dans les Big Labs pour les rendre + puissant que Dieu et on pourrait continuer comme ca longtemps ….mais le sablier est bientot a court de grain de sable !!! Quelques compléments de base et le CoVid #KillBill est cuit !!! tout ce massacre pour rien juste pour conforter la position de ces malades mentaux qui dirigent en coulisse et qui ne sont… Lire la suite »
Je viens de lire votre publication et je suis tout à fait d’accord avec vos conclusions qui rejoignent des propos évoquant la toute-puissance des décideurs qui gouvernent les labos (entre autres) dans une émission écoutée sur France Culture le mercredi 10 novembre après-midi et que je résume : il y a semble-t-il de plus en plus une pénurie de médicaments traditionnels tellement indispensables aux patients parce que les labos préfèrent fabriquer des médicaments innovants… tellement plus intéressants mais pas sur le plan de la santé, intéressants pour les actionnaires… Ce genre de révélation, pourquoi ne l’entendons-nous jamais aux heures de… Lire la suite »
Bravo Docteur et merci de nous éclairer/rassurer avec toutes les données et informations dont vous disposez de par votre métier.
Votre besoin de comprendre pour soigner au mieux vos patients, vous pousse évidemment à ne sélectionner que l efficace. Merci
très attirée par votre récit, mais une question me chiffonne : est-ce qu’une personne venant de subir une décompensation cardiaque peut prétendre à la vaccination Pfizer ou
Moderna ???(personne âgée de 91 ans).Merci de votre réponse.
Merci de nous tenir informés des solutions naturelles pour faire face à un environnement prônant le « tout chimique ».
merci Monsieur pour tous ces renseignements…Pour conserver la santé il vaut mieux éviter le cursus classique et chimique…Mais il se peut qu’une opération (enlever un organe cancéreux par exemple) puisse vous maintenir en vie…mais avec des séquelles à vie et des douleurs dues aux adhérences parfois 10 ans après…Car ces chers chirurgiens ne vous disent pas qu’il faut masser à l’endroit opéré…les huiles essentielles portent bien leur noms et ça marche…en faisant bien attention aux précautions d’emploi…il y a aussi la cure d’argile et de nigari ou chlorure de magnésium…etc…
Bonsoir, Je suis adepte de la prévention et du renforcement de l’immunité en prenant de l’oscillococcinum depuis de nombreuses années. A ce jour, je n’ai pas été malade, et, pour mes rhinites allergiques je n’ai pas besoin d’avoir recours à d’autres médicaments. Egalement, je consomme des fruits et des légumes frais et de saison. Je consomme de la viande et des abats, du miel, du pollen. Je pratique régulièrement la marche à pieds. Je mets aussi du romarin ou de l’immortelle d’Italie dans mes plats quand je cuisine. Le thym fait aussi partie des plantes que j’utilise en cas de… Lire la suite »
Bonjour,et merci docteur de nous dire enfin le vérité sur ses nouveaux médicaments très dangereux,mais je le savais déjà,donc pour moi jamais ces nouveaux vaccins expérimentaux,depuis de nombreuses années déjà je renforcé mon système immunitaire avec de la vitamine D3,du zinc,vitamine C,et j ai de l’ arthemesia chez moi en cas de besoin sous forme de tisane et de teinture mère,ils ont interdit l hydroxichloroquine car c est un médicament qui ne rapporte rien à tous ces gros labos,et uniquement pour ça car évidemment il fonctionne très bien,le professeur Raoult avait bien raison,mais hélas il faut le faire taire
Bravo et merci pour la clarté des explications Docteur Demonceaux !
Que pensez-vous de la Fluvoxamine ?
Bonjour; je suis étonné du fait que vous n’évoquiez pas le clofoctol, le médicament en essai de phase 3 sur les hauts de france et la martinique… cet essai peine à trouver ses patients volontaires, puisque c’est l’omerta sur les medias en général, mais vous n’en parlez pas non plus… il y a-t-il une raison à cela?
merci de donner une information alternative à la médecine unique, la science unique, les media uniques qui se font chantres d’une politique, du fait même, liberticide! (même une interview lundi 15 sur la première d’une responsable du comité de bioéthique n’avait rien d’éthique! Complet reflet de la politique en cours)
En cas de grippe etc je prends de l’huile essentielle d’origan et de l’argent colloïdal..c’est radical. Et laisser la fièvre faire son travail !
c’est rare car je mise plutôt sur mon système immunitaire. Vit.D, C, zinc…
Merci