Suite à ma lettre évoquant la mémoire du regretté professeur Benveniste, Geppetto, un fidèle lecteur, m’a suggéré de me pencher sur les travaux du professeur Marc Henry.
Bien lui en a pris car ses recherches et ses découvertes sont tout aussi passionnantes.
Elles pourraient même confirmer que les professeurs Montagnier et Benveniste, si décriés par leurs pairs, étaient en réalité dans le vrai concernant la mémoire de l’eau.
N’en déplaise aux conservateurs de tous poils, la science d’un jour n’est pas celle du lendemain.
Marc Henry l’a démontré en apportant le chaînon manquant aux recherches de ses confrères autour des pouvoirs de l’eau : la notion de physique quantique.
Deux ouvrages de référence pour tout comprendre
Chercheur et chimiste, spécialiste de l’eau, ex-directeur de recherche au laboratoire moléculaire du CNRS, et encore professeur des universités émérite à l’Université de Strasbourg, le Pr Marc Henry est malheureusement décédé en 2024.
Il a laissé derrière lui un véritable trésor de connaissances accessibles à travers 193 publications
et ses deux principaux ouvrages grand public : « L’eau et la physique quantique, vers une révolution de la médecine » (2016) et « L’eau morphogénique, santé/information et champs de conscience » (2020).
Je vous conseille expressément de vous les procurer et de les lire. Cela pourrait bien changer votre perception du monde qui nous entoure !
Son article testament, le dernier, est consacré au sujet qui l’aura passionné tout au long de sa vie : l’eau[1].
Je peux vous assurer que la lecture de cette publication scientifique qui présente de nombreux passages ardus pour le néophyte m’a mis les larmes aux yeux.
Le message qu’elle nous transmet va bien au-delà d’une découverte scientifique factuelle, elle est avant tout un merveilleux message philosophique qui transcende notre propre existence, car Marc Henry insiste particulièrement sur la notion de conscience.
Cette conscience immatérielle qui, il en a la conviction, préexiste à la matière et la pilote, notamment via les propriétés de l’eau qui compose majoritairement l’organisme de tout être vivant.
La magie de l’eau
Dans de nombreuses traditions, l’eau est considérée comme étant à l’origine de toutes choses et serait la substance qui purifie et agit autant dans le visible que l’invisible.
Le paradoxe est que l’eau plonge la science dans l’indifférence ou à l’inverse dans un mystère insondable qui ouvre des perspectives de recherches propres à occuper toute une vie !
René Quinton, le professeur Benveniste, le professeur Montagnier, Masaru Emoto et le professeur Marc Henry, entre autres, y ont consacré une grande partie de leur existence.
Je crois qu’ils ne l’ont pas regretté.
En levant le voile sur ses propriétés extraordinaires, ils se sont retrouvés face à un sujet aussi vaste que surprenant.
Imaginez leur émerveillement en constatant l’intime intrication de l’eau avec la conscience !
Au-delà de la médecine, de la biologie et de la physique, l’eau nous donne en réalité accès à une dimension essentielle dont les fondements résident dans la transmission d’informations subtiles et la spiritualité.
Garante de toute vie, l’eau serait-elle aussi la mémoire de l’Histoire tout entière de l’Univers ?
Vertigineux.
Ajoutez à cela la dimension quantique qui s’accorde parfaitement avec les propriétés de l’eau et vous comprenez tout l’enjeu des recherches passées et futures qui s’attaqueront au sujet !
Médicaments chimiques vs homéopathie
Selon le professeur Henry, l’erreur fondamentale que commettent les scientifiques lorsqu’ils abordent le sujet de l’eau est de se reposer sur les lois de la physique classique[2].
Or, nous savons à présent que la physique quantique est une composante essentielle lorsqu’on veut comprendre en profondeur le fonctionnement du monde qui nous entoure.
Ainsi, selon les lois de la physique quantique, dès que l’on observe un sujet, quel que soit le moyen d’observation (microscope, imageries diverses, et même une simple auscultation), on perturbe la réalité.
Autrement dit, on ne voit jamais la réalité telle qu’elle est, mais toujours perturbée par l’acte d’observation.
Avec ces postulats, le professeur Henry jette un pavé dans la mare du tout chimique.
Car ne pas avoir conscience de cette règle quantique peut conduire à formuler des médicaments qui ne peuvent mener qu’à des résultats mitigés.
En excluant la quantique des recherches pour formuler les médicaments, on élude tout un pan de lois, complexes mais bien réelles, qui impactent forcément le résultat final (efficacité limitée, effets indésirables, traitements inadaptés pour certains profils de personnes, etc.).
Pour en revenir à l’eau, il faut savoir que des expériences appuyées par une théorie quantique rigoureuse démontrent que l’eau est bien un vecteur d’information[3],[4].
Cela signifie que nous ignorons totalement le constituant très largement majoritaire de notre corps, c’est à dire l’eau (environ 65%), car la pharmacopée chimique agit uniquement sur les protéines de notre organisme (présentes à hauteur de 15 à 20%).
Mais malheureusement, l’eau et sa capacité à transmettre et faire circuler des informations thérapeutiques n’est pris en compte que dans l’homéopathie.
Les autres pistes à creuser
Le professeur Henry nous a également laissé une piste très sérieuse à creuser dans l’optique de vaincre le cancer.
Il affirme que le dénominateur commun à tous les travaux qui ont montré une certaine efficacité est l’eau et les ions qu’elle contient.
Toutes ces pistes de recherche très prometteuses ont été dénigrées puis abandonnées après la Seconde Guerre mondiale, encore une fois au nom du tout chimique.
Serait-ce parce que les méthodes de soin du cancer prenant l’eau comme base de travail conduiraient à développer des remèdes au prix dérisoire, en rapport aux sommes d’argent colossales que génère le traitement actuel de cette maladie ?
La réponse me semble évidente.
Le professeur Henry nous a aussi transmis un conseil capital que nous pouvons tous mettre en œuvre au quotidien.
C’est d’ailleurs un conseil que je donne régulièrement : choisissez soigneusement l’eau que vous buvez !
Comme je l’ai déjà dit, notre organisme est essentiellement constitué d’eau.
Nul besoin d’être un grand savant pour comprendre que si nous buvons une eau de mauvaise qualité, c’est tout notre système qui en pâtit.
Le premier geste santé, le plus fondamental, est de bien s’hydrater.
Le professeur Henry préconise de boire une eau non gazeuse la moins minéralisée possible (résidu à sec inférieur à 100 mg/L), légèrement acide (pH = 5-7), légèrement réductrice (rH2 = 22-28) et convenablement dynamisée.
Ainsi, la plupart des eaux en bouteilles doivent être évitées.
Vous trouverez dans la brochure Quelle eau boire ? tous les détails pratiques concernant la dynamisation de l’eau et ce qu’il faut faire et ne pas faire pour avoir à disposition une eau de qualité[5].
Un art plutôt qu’une science
À la question : La médecine est-elle une science ? Le professeur Henry a une réponse qui me comble de bonheur : Il est convaincu, et je partage son avis, que la médecine est avant tout un art.
Quelle joie d’entendre cela de la bouche d’un éminent scientifique !
En effet, notre conception commune est de considérer l’être humain non pas comme une machine répliquée à l’identique, mais comme une individualité avec ses propres particularités.
Par conséquent, la médecine ne sera jamais une science, car selon les dires du professeur Henry : « Il est impossible de trouver sur cette planète deux êtres humains semblables en tous points, l’un pouvant servir de contrôle par rapport à l’autre qui fera l’objet d’expérimentation. »
« Tous les médecins sont donc à la base des artistes, certains étant de véritables virtuoses et d’autres d’incorrigibles patauds. Je pense très sincèrement que la crise actuelle que traverse le monde médical est liée à cette croyance erronée que la médecine puisse être de nature scientifique. »
Il y aurait tant à dire au sujet du professeur Marc Henry…
J’espère, bien humblement, vous avoir transmis l’essentiel de sa pensée.
Que pensez-vous de ses théories ?