Vous vous souvenez de la panique qui nous a conduits au confinement le plus strict et aux mesures les plus folles lors de la crise du Covid ?
Avec le recul, quel regard pouvons-nous porter sur cette période ?
Le bilan de la grippe, particulièrement meurtrier cet hiver, vient apporter un éclairage nouveau à ce que nous avons vécu il y maintenant cinq ans.
Certains ont la mémoire courte, mais ce n’est pas mon cas.
Lisez bien ce qui va suivre, c’est édifiant !
Un bilan qui fâche
Le mois de janvier en France a été particulièrement meurtrier, et cela serait dû en grande partie à une grippe très sévère.
Près de 70 000 décès, toutes causes confondues, soit 2 257 décès en moyenne par jour[1] (un vaccin très efficace donc, mais ce n’est pas le sujet du jour).
Savez-vous que ce chiffre dépasse le bilan des mois les plus meurtriers de la période Covid ?
En 2020, lorsque la pandémie a commencé, les mois les plus meurtriers avaient été mars avec 63 128 décès, avril (66 948), novembre (66 237) et décembre (64 295).
« Oui mais on meurt plus en hiver que durant le mois de mars, période à laquelle est apparu le Covid. »
Pour certains, ceci expliquerait pourquoi il y a eu plus de morts cet hiver que durant les premiers mois de l’épidémie de Covid.
J’entends cet argument, mais désolé, il ne tient pas : comme je l’ai précisé plus haut, les mois de novembre et décembre 2020 n’avaient pas été spécialement plus meurtriers que ceux de mars ou avril.
Si l’on prend en compte l’argument de ces observateurs, on aurait dû avoir des chiffres autrement plus affolants durant ces périodes. Car en 2020, à ce moment-là, circulaient simultanément les traditionnelles grippes et bronchites, en plus du Covid.
À mon sens, le seul argument qui pourrait être valable repose sur le fait que les décès ont peut-être été freinés, à l’époque, par le confinement.
Quoi qu’on en pense, au-delà de cette bataille de chiffres, peut-on encore considérer aujourd’hui la pandémie de Covid comme ayant été un danger sans précédent pour l’avenir de l’Humanité ?
Rappelez-vous, on nous parlait alors de « guerre », de « mesures d’urgence », de « pass sanitaire », de « confinement », de « quarantaine ».
Rappelez-vous ce qui a suivi : la mise au ban de la société des non-vaccinés, considérés comme des pestiférés, le quoi qu’il en coûte…
Alors nous aurait-on menti ?
Nous aurait-on manipulés ?
« COVID-19 : guerre ouverte contre les peuples »
Avez-vous entendu parler de ce livre dans les médias ?
Je parie que non.
Pourtant, il est très instructif.
Je vais donc m’en faire le relais.
Selon son auteur, Eusèbe Rioché, un docteur en science, les chiffres officiels démontrent tout simplement que le soi-disant fléau infectieux qui devait décimer la Terre entière n’a pas dépassé en gravité les effets d’un banal épisode grippal.
Si les autorités ne l’avaient pas géré en terrifiant les populations, il serait passé inaperçu et n’aurait fait aucune vague.
Plus grave encore, l’auteur (qui a pris un pseudonyme, on comprend aisément pourquoi) dénonce un abandon massif des soins et un « gérontocide » orchestré dans les maisons de retraite.
Il est vrai que nul n’a jamais cherché à soigner le Covid.
Souvenez-vous, tout traitement possible était alors balayé d’un revers de main méprisant par les » spécialistes » qui, au final, ne nous ont vendu que le vaccin comme seul remède.
Résultat : dans les hôpitaux (je ne leur jette pas la pierre, ils n’avaient pas le choix) et les maisons de retraite, on a accompagné les malades du Covid vers la mort sans chercher le moins du monde à les soigner.
On a appliqué purement et simplement une politique de soins palliatifs.
Et une politique de mensonges gros comme le nez de Pinocchio au milieu du visage.
Soudainement, en France, on ne mourait plus que du Covid : si l’on en croit les chiffres durant la pandémie, les décès dus à la grippe sont négligeables : 3 700 décès attribuables à la grippe pour toute l’année 2020[2].
Toujours plus fort : lors de la période 2021-22, 594 décès déclarés avec une mention de grippe comme affection morbide ayant directement provoqué ou contribué au décès[3] !
À titre comparatif, on parle de 611 décès dus à la grippe rien que pour la semaine du 6 au 12 janvier 2025 ![4]
Qui a pu croire ça ?
Les non-complotistes sûrement…
Parlons chiffres
Février 2020.
Nos chers médias lancent l’alerte de façon à bien marquer les esprits : « au bout d’un mois, il y a déjà 2 500 morts du Covid-19 en Chine, c’est l’hécatombe. »
Puis c’est l’escalade qu’on connaît…
Pourtant, il n’était déjà pas très ardu de grandement relativiser cette info alarmiste, comme le confirme si bien le statisticien Pierre Chaillot.
« On peut discuter de tout sauf des chiffres », martelait Olivier Véran, alors ministre de la Santé.
Eh bien ce sont justement les chiffres autour de la « crise sanitaire » que Pierre Chaillot s’est attelé à analyser.
Vous pourrez, si vous le souhaitez, lire ses conclusions dans son livre : Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels, Mortalité, tests, vaccins, hôpitaux : la vérité émerge (Éditions L’Artilleur, 2023).
Pour remettre cette info à sa juste place, il rappelle qu’en France, environ 2 500 personnes décèdent CHAQUE JOUR et que la Chine, en termes de population, représente vingt fois celle de la France !
Alors y avait-il vraiment matière à s’affoler ?
Non, mais la fabrique de la peur commençait son tour de chauffe tranquillement.
Rappelons qu’ensuite, l’Imperial College de Londres prédisait 500 000 morts en France si rien n’était entrepris.
Vaste blague…
En 2023, Pierre Chaillot résumait la situation ainsi : « Aujourd’hui, il n’y a pas de preuve que nous faisons face à une pandémie qui tue significativement plus de monde que d’habitude, ni que les mesures adoptées réduisent la mortalité. »
Il enfonce même le clou : « 2020 est la septième année la moins mortelle de toute l’histoire de France. »
En revanche, et là il ne s’est pas fait que des amis : « Depuis l’été 2021, le nombre de décès des 15-44 ans européens est sorti de la moyenne normale. »
Une surmortalité inexpliquée par les autorités.
Selon lui : « Il est nécessaire de diffuser les statistiques de décès selon l’âge, le statut vaccinal et la date de vaccination. Il faut de toute urgence savoir s’il existe une mortalité post-vaccinale significative. »
Si vous voulez en savoir plus, je vous conseille de visionner sa longue et passionnante interview ICI.
Alors qui a pu tirer bénéfice de cette gestion mensongère de la pandémie de Covid ?
À qui profite le crime ?
J’en appelle encore une fois à votre mémoire : en 1998 a sévi la grippe aviaire, en 2003, ce fut le SRAS, en 2009, le virus H1N1.
Tentatives avortées de semer la panique ? De tester les foules ?
La question mérite d’être posée.
La réponse est peut-être dans les révélations livrées par Robert Kennedy Junior dans son best-seller The Real Anthony Fauci.
Il y explique notamment comment la propagande de masse et la censure auraient été orchestrées pour imposer la vaccination de 7 milliards de personnes.
Et derrière tout cela, bien sûr : des intérêts financiers colossaux.
Le livre est un résumé de la façon dont les plus hautes instances sont capables de créer le chaos, d’attiser la peur, de briser l’économie et d’étouffer l’expression individuelle, dans le but de parvenir à leurs fins.
Si le Covid nous a conduits à une telle docilité aveugle, c’est grâce à un effort coordonné de tous les types de pouvoirs, les médias en tête.
Dans son livre, Eusèbe Rioché confirme et ne tourne pas autour du pot : on n’a jamais eu affaire à une crise sanitaire mais bien à une machination capitaliste.
Voici en substance ce qu’il nous dit : « Cela fait 25 ans qu’à chaque « pandémie », la fortune des milliardaires bondit. »
CQFD.
Pensez-vous que la pandémie de Covid repose sur une manipulation ?
Y aura-t-il un jour des sanctions prises contre les grands responsables ?